Le Monsieur JACQUES nouveau est arrivé !

Ça y est, le nou­veau site de Monsieur JACQUES est sur ses rails ! Nous espé­rons que vous serez nom­breux à par­tir à la décou­verte des nou­velles aven­tures de notre héros racon­tées en textes, en images… et désor­mais en sons.

Que les nos­tal­giques se ras­surent, l’an­cien site n’a pas dis­pa­ru ; vous pour­rez le retrou­ver à l’a­dresse suivante :

http://monsieurjacques.fr/2001/

Quant aux visi­teurs du nou­veau site, nous les invi­tons à nous faire part des éven­tuels défauts qu’ils pour­raient ren­con­trer en écri­vant au webmestre.

Parlons typographie

Non, je ne vais pas reco­pier ici le cours magis­tral de Monsieur JACQUES sur l’or­tho­ty­po­gra­phie en Mongolie Maritime, mais plu­tôt vous par­ler de la typo­gra­phie tout court, et plus pré­ci­sé­ment de celle qui est en usage sur Yakak­wa­tik ! et sur le nou­veau site de Monsieur JACQUES.

Dans un cas comme dans l’autre, nous avons aban­don­né le très clas­sique duo Verdana-Times, au pro­fit d’un frin­gant trio de « web fonts » :

  • une police cur­sive, la Niconne (n’y voyez aucune allu­sion pho­to­gra­phique !), pour obte­nir de belles let­trines rouges ;
  • une police serif, la Vollkorn, choi­sie pour son élé­gance et sa lisibilité ;
  • une police sans-serif, la for­mi­dable Lato qui joue avec entrain les bonnes à tout faire.

Sur le site de Monsieur JACQUES s’a­joute une qua­trième police, la Tilliana, que nous avons réser­vée au rem­plis­sage des phylactères.

Mais au fait, Monsieur Denis, pour­quoi des web fonts ? Parce que c’est le seul moyen d’a­dop­ter une typo­gra­phie ori­gi­nale sans ren­con­trer l’é­cueil des polices absentes de la machine du visi­teur. Les web fonts étant, au choix, sto­ckées sur le ser­veur du site web ou sur un ser­veur externe (celui de Google en ce qui nous concerne), elles sont en quelque sorte livrées avec le site, et donc tou­jours visibles.

Ressources

Les pages de res­sources ont été ajou­tées. Elles contiennent des images et des sons uti­li­sés sur le nou­veau site de Monsieur JACQUES, le tout étant publié sous licence libre.

Il va sans dire – mais disons-le quand même – que les élé­ments du site non publiés ici ne sont pas libres de droits et res­tent la pro­prié­té de leurs auteurs res­pec­tifs. Au pas­sage, remer­cions les contri­bu­teurs qui ont géné­reu­se­ment offert à Monsieur JACQUES leurs images et leurs idées. Vous les retrou­ve­rez dans le géné­rique de fin du site. Eh oui, le site de Monsieur JACQUES a une fin ! Mais elle ne se trouve pas néces­sai­re­ment là où on l’attend…

La mue du yakakwatik

Il faut bien l’a­vouer, Yakak­wa­tik ! végé­tait depuis une bonne dizaine d’an­nées, et la petite méta­mor­phose qu’il vient de subir ne lui fera pas de mal.

Mais ce chan­ge­ment en annonce un autre : le site de Monsieur JACQUES va bien­tôt faire peau neuve lui aus­si. Plus spa­cieux, plus véloce, enri­chi d’un bataillon de nou­velles pages, il délais­se­ra enfin la désuète tech­no­lo­gie Flash au pro­fit du HTML5 (oui, Monsieur JACQUES, je sais écrire « HTML » cor­rec­te­ment, moi). Il reste encore quelques bou­lons à ser­rer, mais c’est pour bien­tôt ; res­tez à l’écoute !